31 Juillet 2019
Titre : La trilogie des gemmes, tome 2 : Bleu Saphir
Auteur : Kerstin Gier
Date de parution : 22 avril 2015
Nombre de pages : 358 pages
Note : 16/20
Début lecture : 23/07/2019
Fin lecture : 31/07/2019
Edition : Milan - Collection Macadam
Résumé : Longtemps, Gwendolyn pensa être une lycéenne comme les autres. Bon, d'accord, elle voyait des fantômes dans les couloirs de son lycée ; mais d'abord elle n'en voyait qu'un, et puis personne n'est parfait. Pour le reste, rien à dire. Jusqu'au jour où Gwendolyn comprit : elle n'était pas une lycéenne comme les autres. Marquée du sceau des Veilleurs du temps, elle doit désormais voyager à travers les âges, fermer un Cercle auquel elle ne comprend rien, partir à la recherche d'autres Veilleurs dans le passé, et affronter un comte du XVIIIe siècle, soi-disant immortel. Et puis quoi encore ? Tout ce qu'elle voudrait, elle, c'est que son (beau) Gideon l'embrasse pour de bon. Est-ce vraiment trop demander ? Elle est le rubis, la douzième, l'ultime voyageuse. Avec elle, le Cercle est refermé, le secret révélé. Un secret qui remonte à la nuit des temps.
Mon avis : Encore un tome plein de rebondissements et d'affaire politiques d’antan !
Je suis toujours sous le charme de cette histoire, toujours autant fascinée par les codes des différentes époques. L'histoire déborde toujours d'humour, d'action et de révélations.
J'ai hâte de percer le secret de la Prophétie...
On se surprends à chercher le fin mot des différentes affaires tellement c'est prenant.
Le monde est vraiment riche du coup on n'a pas l'impression que quelques jours seulement se sont passé depuis le début du premier tome. Même si l'on saute d'une époque à l'autre, on n'est jamais perdu.
-Tu ne voudrais pas fermer la bouche une minute, non? Là, il faut que je prenne mon courage à deux mains pour te faire une déclaration d'amour. et je n'ai absolument aucune expérience en ce domaine.
-Pardon?
-je suis amoureux , Gwendolyn, dit-il gravement.
Je sentis mon estomac se nouer, comme sous l'effet de la peur. Mais en réalité, il se serrait de joie.
-Vraiment?